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La Promesse de l’aube


d’après Romain Gary
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mise en scène de Stéphane Laporte et Dominique Scheer
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À partir de 15 ans
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Représentations en matinées sur demande
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les 16, 17, 30 et 31 mai à 14h
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au Salon de Théâtre, Tourcoing
79 places maximum / représentation
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NB. Sous réserve d’effectifs suffisants par représentation



 

Production : Sea Art (Bréau)
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Avec : Franck Desmedt
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Adaptation : Franck Desmedt et Stéphane Laporte


Seul sur scène, Franck Desmedt (Molière du second rôle dans Adieu Monsieur Haffman) s’empare d’un récit qui relate l’enfance et la jeunesse de Romain Gary, l’un des auteurs les plus mystérieux du vingtième siècle. Avec sobriété, il parvient à devenir tous les personnages du roman : la mère de Gary, ancienne actrice russe portée par un amour et une foi inconditionnels en son fils, qui lutte sans trêve contre l’adversité pour que celui-ci connaisse un destin grandiose ; la multitude de personnages croisés par l’auteur au cours d’une vie simplement romanesque : le Roi de Suède rencontré par hasard au club de tennis, De Gaulle lançant son appel à résister. Il incarne enfin, avec virtuosité, le seul auteur qui, par malice, obtiendra deux fois le Goncourt, une histoire pleine d’humour et de tendresse, l’histoire de celui qui voulut être conforme aux rêves de grandeur que sa mère avait pour lui et qui fit de son existence une sorte de chef d’oeuvre. Un des récits les plus émouvants jamais écrit sur l’amour maternel et la fidélité d’un fils.



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La presse en parle

Quel acteur que ce Franck Desmedt. Qu’il joue Céline ou Maupassant, interprète les bons ou les méchants, le même éclat zèbre son oeil ironique, le même pétillement d’esprit. Qui rend le spectateur complice tout en étant ému, distancié tout en plongeant au coeur de l’histoire.
Télérama

Une performance de haute volée. » Le Parisien - « Une leçon d’amour.
Théâtral Magazine

Franck Desmedt est d’une délicatesse aérienne, d’une acuité tranchante. Rien de mièvre ou de trop sentimental. Mais quelque chose de tragique qui ne s’interdit jamais rires et sourires. À voir absolument.
Armelle Héliot