Mise en scène, dramaturgie et chorégraphie d’Artur Ribeiro et Andre Curti
Les 02 et 03 avril 2008
au Théâtre Municipal de Tourcoing (F)
Spectacle à l’abonnement
Production : Cie Dos à deux (Paris)
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Avec : Lakko Okino, Andre Curti, Artur Ribeiro
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Avec le soutien du Conseil Général des Yvelines, du Ministère de la Culture - DRAC Ile de France, de la Communauté d’agglomération de St Quentin en Yvelines et de l’Adami
Avec l’aide de l’Espace Jean Vilar - Scène Conventionnée (Ifs), Centre Culturel des Carmes (Langon), Carré Amelot (La Rochelle), la Ville de Champigny- sur-Marne, le Sax - Espace Musical (Achères), l’Association Relais Mutualiste - I.M.R. (La Verrière), le studio d’Alice, le Théâtre du Soleil (Vincennes)
Prix ADAMI et Prix du Public du Festival d’Avignon 2004, ce spectacle, au moyen d’un théâtre entièrement gestuel d’une incroyable force émotive et d’une implacable beauté, nous raconte l’histoire d’une mère et son fils, rejoints par la prétendante de ce dernier, habitants isolés au milieu d’une mer bleu-azur, espace qu’ils doivent composer non sans se frotter et s’affronter. Sauf qu’un jour, l’eau qui les entoure disparaît et tout s’assèche.
LE PUBLIC LES A ADOPTÉS
Formés à Rio et Sao Paulo au Brésil, Artur Ribeiro et André Curti se rencontrent lors d’un festival à Paris en 1997 et décident d’entamer ensemble une recherche théâtrale et chorégraphique en s’inspirant du texte de Samuel Beckett En attendant Godot. Un an après naît le premier duo de leur collaboration Dos à deux, joué plus de 300 représentations dans une tournée internationale. À partir de ce moment, ils affirment une identité artistique qu’ils choisissent de désigner comme « théâtre gestuel », et obtiennent avec Saudade le prix du public au festival d’Avignon.
CHANSON DE GESTES
La « saudade » (de soledade, la solitude et saudação, les saluts de ceux qui se quittent ou se retrouvent) est ce qui reste quand tout meurt avec la constatation que quelque chose Survit... L’histoire de Saudade, narrée par Artur Ribeiro et Andre Curti, danseurs et metteurs en scène et Lakko Okino, danseuse, est celle d’une famille de pécheurs forcée à l’exil parce que la mer se retire. Dans une esthétique qui tend à une universalité temporelle géographique, ces trois “bougeurs” nous emportent dans leur poésie en s’appuyant sur une démarche atypique, un art total qui mêle sans distinction l’écriture chorégraphique et théâtrale.
La presse en parle
"Ce spectacle touche par cette notion, pure, assez inédite dans ses manifestations, d’un corps qui se meut et (s’)exprime exclusivement en songeant aux points de contact à son semblable. A l’altérité."
A. B., L’Humanité
Époustouflant, grandiose et superbement interprété... Un petit chef d’œuvre, une perle rare qui interpelle et séduit. Aucun dialogue dans cette création originale mais une mise en scène parfaite, un jeu d’acteurs remarquable, une musique superbe et la beauté et la magie à chaque image qui passe.
P. C., La Dépêche du Fenua (Tahiti)
Ce théâtre muet, sans artifices ni technologie, est toutefois immensément riche, rigoureux, sans compromis et d’une imagination extraordinaire."
Journal de Séville, (Espagne)
Longtemps cette jolie ritournelle, thème musical récurrent du spectacle Saudade, pur joyau, vous poursuivra.
N. V. E. La Provence
Une pure merveille dont on sort comme en état de grâce !
F. P. La Marseillaise